En plein centre de la mégapole Turque, les allées couvertes et les ruelles adjacentes regorgent de vendeurs d’épices. 
Senteurs d’orient ou parfum de safran, le Mısır Çarsısı n’est pas qu’un lieu touristique, de nombreux stambouilotes viennent s’approvisionner dans ce temple des épices.
Perdus dans la forêt, des bains turcs aménagés sont accessibles gratuitement. Deux bassins séparés, un pour les hommes, un pour les femmes sont alimentés par une eau très chaude qui sort de la terre. La vue sur la montagne enneigée environnante rend l’endroit magique.
Sorku nous a accueilli dans sa ferme perdue au milieu du plateau anatolien. Sans langue commune, nous avons réussi a communiquer et se comprendre…Elle nous a même interprété le début d’une chanson turque.
Nous ne parlons pas de langue commune et cela n’a pas empêché la communication. Le voyage est fait de rencontres et de générosité, ce jour là, sur une route de Cappadocce, Muzi a su nous montrer la générosité turque.
En mars 2014, les turcs ont été appelés aux urnes pour des élections locales. La population profite de cet événement démocratique pour partager sa liesse et soutenir leur favori en défilant dans la rue. 
Chaque parti politique fait circuler dans toute la Turquie, des camions à l’effigie de leur candidat surmonté d ‘enceintes puissantes qui diffusent une musique.
Les drapeaux et bannières fleurissent aux fenêtres, entre les immeubles, sur les vitrines des commerces et les sympathisants défilent aux sons de leur parti.
Murat aime son pays et entreprend de re-découvrir les plantes médicinales et les remèdes de la Cappadoce. Il part sur les chemins de cette région, à la rencontre des « anciens » pour collecter les savoir-faire…
Yilmas est propriétaire d’un restaurant près du village de Solangi en Cappadocce. Un endroit où il fait bon vivre, loin de la foule, au milieu des cheminées de feu.
Yilmas nous offre l’hospitalité et aime parler de son pays, ses spécialités et du marché de la pomme de terre.
Mehmet sait prendre le temps d’accueillir le voyageur bien qu’il ait des responsabilités importantes dans ses affaires. Il nous fera découvrir un très beau coin de Cappadocce, la vallée d’ Ihlara vadisi.
Nous avons rencontré Ben à l’occasion d’un thé dans un parc de Konya. Amateur d’histoire et de culture, Ben partage ses connaissances sur les Derviches. Son ami Yigit traduit en anglais ses propos.
