Istanbul a de nombreuses mosquées. Cinq fois par jour, l’appel à la prière invite les musulmans à se rendre dans une des mosquées.
Du haut d’un toit terrasse, nous captons en échos l’appel du soir…
Istanbul a de nombreuses mosquées. Cinq fois par jour, l’appel à la prière invite les musulmans à se rendre dans une des mosquées.
Du haut d’un toit terrasse, nous captons en échos l’appel du soir…
Les ferry font vraiment partie de l’ambiance d’Istanbul. Traverser le Bosphore ou remonter la Corne d’Or, partir aux îles des Princes sont autant d’invitations au voyage sur ces bateaux d’une autre époque.
A bord, vous pouvez goûter au Cai ou déguster un Simit, petit pain au sésame en forme de couronne cédé pour 1 Lira (0,30 euro) par les vendeurs ambulants.
En plein centre de la mégapole Turque, les allées couvertes et les ruelles adjacentes regorgent de vendeurs d’épices.
Senteurs d’orient ou parfum de safran, le Mısır Çarsısı n’est pas qu’un lieu touristique, de nombreux stambouilotes viennent s’approvisionner dans ce temple des épices.
Sorku nous a accueilli dans sa ferme perdue au milieu du plateau anatolien. Sans langue commune, nous avons réussi a communiquer et se comprendre…Elle nous a même interprété le début d’une chanson turque.
En mars 2014, les turcs ont été appelés aux urnes pour des élections locales. La population profite de cet événement démocratique pour partager sa liesse et soutenir leur favori en défilant dans la rue.
Chaque parti politique fait circuler dans toute la Turquie, des camions à l’effigie de leur candidat surmonté d ‘enceintes puissantes qui diffusent une musique.
Les drapeaux et bannières fleurissent aux fenêtres, entre les immeubles, sur les vitrines des commerces et les sympathisants défilent aux sons de leur parti.
Yilmas est propriétaire d’un restaurant près du village de Solangi en Cappadocce. Un endroit où il fait bon vivre, loin de la foule, au milieu des cheminées de feu.
Yilmas nous offre l’hospitalité et aime parler de son pays, ses spécialités et du marché de la pomme de terre.
Comme hypnotisés par la musique, le rythme emporte les derviches dans une danse, la sama.
Les derviches sont insensibles à la présence du public qui parfois oublie qu’il ne s’agit pas de folklore mais bien d’un rite religieux. Ils poursuivent peurs pas répétitifs, tête penchée, bras levés, main droite orientée vers le ciel et main gauche vers la terre.Le public aussi est transporté par le mouvement des corps et le soulèvement des robes.
La musique cesse, les derviches se regroupent par deux ou trois et retournent à l’immobilité, leur esprit et leur tête ne semblent pas perturbés…Ont-ils atteint l’état de transe?
Pour en savoir plus sur l’ordre des Mevlevi voir un article de wikipedia.
Laissez-vous porter par la musique de Turquie.
Raphaël et Anne se promènent avec leur camion à travers la turquie au grès des rencontres pour échanger autour de la musique.
Nous les avons rencontré alors que nous nous apprêtions à faire du stop dans le sud du pays. Nous n’avions pas mis le pouce en l’air qu’ils nous faisaient signe depuis leur camion. Nous avons passé plusieurs jours très sympathiques avec ce couple de musiciens voyageurs.
Près de Kas, sur la côte Lycienne dans le sud de la Turquie. Nous profitons de la tombée du jour pour écouter de la musique jouée au buzuki.